Ca fait quelques jours que je cherche a decouvrir le titre et l'interprete...en vain. Meme pas Google tout-puissant n'a pu m'aider. Certaines paroles: "La terre est ronde, Mais la terre c'est quoi? Juste une seconde qui n'en finit pas" ou "juste une grosse boule qui tourne sous nos pas" Merci d'avance
Ah ben si Oryx connaît pas, t'es fichu alors, personne connaîtra... Tu es sûr que c'est une chanson ? Ça sonne presque comme un extrait de poême...
C'est bien une chanson...et ce sont les seules paroles dont je me souviens. Les derniers mots sont une repetition de "juste une seconde qui n'en finit pas...juste une seconde.." C'est peut etre extrait d'un poeme, j'suis pas sur. "Le monde s'ecroule mais le monde c'est quoi, Just une grosse boule qui tourne sous nos pas" Je n'ai rien trouve non plus (sauf quelques sites qui mentionnent ces paroles, mais pas la chanson) et j'esperais que quelqu'un pourrait m'aider. Merci quand meme
J'ai trouvé les paroles, mais pas vraiment l'auteur http://histoires-de-fous.ifrance.com/nouveau_site/organisme.htm?NOM=histoires-de-fous
On retrouve "Le monde s'écroule, mais le monde c'est quoi ? Juste une seconde qui n'en fini pas." sur pas mal de blogs (un blog, un autre), mais sans jamais donner l'auteur.
J'ai finalement trouve! Le titre est : "Le monde s'ecroule" par Julien Baer. Magnifique chanson, que je recommande vivement ! LE MONDE S'ECROULE : A peine aperçue Voilà qu'elle s'en va La seule qui savait ce que je ne sais pas Les autos qui glissent Effacent chaque fois encore un peu plus la trace de ses pas Chercher dans la ville Autour des néons Acheter les annuaires y guetter son nom Le long des avenues Je parle tous bas A des réverbère qui ne me répondent pas Au dessus des toits c'est drôle comme on entend parfois Monter de la rue ces mots de tristesse et de joie Le monde s'écroule, mais le monde c'est quoi Juste une grosse boule qui roule sous nos pas La terre est ronde mais la terre c'est quoi juste une second qui n'en finit pas Lassé des hivers, de ces nuits glacées Je met le cap vers l'éternel été Un bateau m'emmène et je ne vois plus rien Que la croix du sud qui montre le chemin Les années qui passent n'ont rien arranger Et les mêmes questions restent encore à posées Assis sur le port mes yeux sont fermés L'espoir n'est pas mort Il est juste figé Du côté du large c'est drôle comme on entend parfois ces idées étrangers mêlées de tristesse et de joie Julien Baer
Ah ben, je dormirai mieux cette nuit maintenant que ce mystère a été éclairci. Belle persévérance en tout cas.